La presse et « Le Mal des ruines »
« En un peu plus de cent pages, tout est dit de l’implacable beauté de l’ile, de sa «perfection élémentaire», des mythes et des folles passions
qu’elle suscite, détestation comprise », écrit Marie-Françoise LECLERE dans LE POINT n° 2528 en date du 28 janvier 2021. Pour lire son article in extenso…
« On marche au bras d’un nouveau Virgile, écrit Gérard LEFORT dans les INROCKS du 27 janvier 2021, quand ARNAUD décrit sur cette île qui a “le profil en crête d’un iguane vert”, le goût des torrents et du
maquis, ou, franchement souriant, les vaches errantes, “plus proches du carnivore que du mangeur d’herbe”. Le Mal des ruines, “leur odeur de renfermé”, est le récit d’une renaissance, comme au lendemain d’un incendie de forêt : “Tout serait vert à nouveau, et d’une fraîcheur bouleversante.” Le mal des ruines fait du bien ». Pour lire cet article in extenso…
2 comments
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Virgile, pour le style profond et réel à la fois, incomparable qui mêle l’essentiel, l’amour, l’attachement, quelque chose d’indéfectible. Et puis, il y a ce qui suit, les armes, la mort, les destructions, l’inexplicable, les vengeances insensées, indélébiles que rien n’efface alors qu’elles font renoncer à la beauté. Les traces et la mémoire effacées qui conduisent au renoncement. L’Île engloutie sous les meurtres n’égale pas son destin et le cœur de Claude Arnaud bouge sous la rage, une immense tristesse. Est-ce ainsi que les hommes vivent ?
Merci pour votre commentaire, France Renucci, oui, je voulais aller à l’essentiel dans ce livre, et faire en quelque sorte que la Corse, par son côté tranchant, m’aide à aller à l’os, m’oblige à ôter tout gras dans le texte, tant mieux si je me suis approché de mon but!
Claude Arnaud