Qu’as-tu fait de tes frères?

*QU’AS-TU FAIT DE TES FRERES?, TROISIEME ROMAN DE CLAUDE ARNAUD, EST SORTI EN AOUT 2010 AUX EDITIONS GRASSET

*DANS LES JURYS

Sélectionné dans la liste de rentrée de la FNAC, parmi 300 romans parus en septembre, QU’AS-TU FAIT DE TES FRERES? a figuré dans première liste de sélection du prix Renaudot… , du prix Femina…, du prix Medicis… , du prix Interallié…, du prix Décembre… comme dans celle du Renaudot des lyCéens.
Il a aussi été dans la deuxième liste du prix Femina… dans celle de l’Interallié… et dans celle du Renaudot
Il a figuré enfin dans la troisième et dernière liste du Femina… et de l’Interalliécomme dans l’ultime sélection du prix des Deux-Magots…ET DU PRIX du LIVRE INTER

Coup de cœur des vendeurs de la FNAC, ce livre a encore été sélectionné par le Club des Meilleurs livres du mois… Le jeudi 23 septembre 2010, CLAUDE ARNAUD a dialogué à son sujet avec les internautes lisant LIBERATION. Pour découvrir ce tchat
ENFIN, QU’AS-TU FAIT DE TES FRERES? A REÇU LE PRIX JEAN-JACQUES ROUSSEAU 2011.  » Il est rare de voir décrit avec autant de justesse et de manière presque tendre une époque dont on comprend qu’elle ne le fut guère avec ceux qui l’épousèrent et voulurent la réinventer, a estimé le jury. Au-delà de la peinture de milieux hétéroclites et riches en rencontres, de l’évolution d’une société qui peine  à se remettre sur ses deux pieds après l’ouragan de 68 (…) le comité de lecture a aimé l’originalité du point de vue, défendu avec finesse et sans jamais sombrer dans la caricature, l’équilibre entre les mutations de la société et celles de la famille, et l’extrême sincérité du récit.  »

*SUR LE PETIT ECRAN

CLAUDE ARNAUD a évoqué devant Olivier BARROT, sur le plateau d’Un livre un jour (Fr 3)
Sur le plateau de Michel FIELD, le 22 novembre 2010, dans son émission Au-field-de-la-nuit, sur TF1…
Comme sur celui du Cercle Littéraire de la Bibliothèque Nationale de France, animé début décembre  2010 par Laure ADLER et Bruno RACINE, en compagnie de Philippe FOREST et de Fabienne JACOB...
Avec FABRICE LUCHINI, sur le plateau de Vivement Dimanche, l’émission de Michel DRUCKER, en février 2011…
Enfin devant les caméras de la rédaction de My Boox…

*A LA RADIO

CLAUDE ARNAUD A défendU son livre face à Marc WEITZMANN, à l’émission « La Grande Table », sur France-Culture, le 13 septembre 2010, devant les micros de Caroline BROUE et Hervé GARDETTE...
IL A ETE Confronté à Frédéric BONNAUD à l’émission « Plan B… pour Bonnaud » sur Le Mouv’ (Radio France) du jeudi 30 septembre 2010 
…ET, Devant les micros de Colombe SCHNECK, sur France-Inter, avec Dominique ZEHRFUSS, l’auteure de « Peau de caniche » ( Mercure de France)…
Il a enfin répondu aux questions de Francesca ISIDORI, durant l’émission les Affinités électives
Carole CAVALLERA a rendu compte de QU’AS-TU FAIT DE TES FRERES? au micro de Radio Aligre, lors des jeudis littéraires de Jean-Philippe VANINI, le 21 octobre 2010?
Le jeudi 23 septembre 2010, CLAUDE ARNAUD a dialogué avec les internautes lisant LIBERATION.
Pour découvrir ce tchat

*DANS LA PRESSE

Pour découvrir l’accueil que la presse a réservé à QU’AS-TU FAIT DE TES FRERES? en France…
…comme à l’étranger…

*POUR ACQUERIR CE LIVRE AU FORMAT PAPIER OU E-BOOK…

*POUR TROUVER LE LIBRAIRE QUI, DANS VOTRE REGION, DIFFUSE CE LIVRE…

Pour acheter ce livre à des libraires sous format papier…
Et sous format numérique…
QU’AS-TU FAIT DE TES FRERES? a été sélectionné, en septembre 2010, par le Club du Meilleur Livre du Mois. 
iL EST PASSE EN 2012 EN LIVRE DE POCHE:
                                                                                     POUR TROUVER CETTE EDITION POCHE
Ce livre est dédié à Geneviève TURNIER.

5 comments

  • Cher Monsieur,
    Votre dernier livre que je viens de terminer
    est aussi, dans un tout autre genre que votre « Cocteau » que j’ai tant apprécié, une parfaite réussite. C’est Le roman des années 60-70 avec leurs parts d’ombre de l’activisme gauchiste ( que j’ai observées comme journaliste à l’époque ) et que vous éclairez de l’intérieur. Coup de sonde passionnant. C’est aussi le mémorial vivace de fortes figures qui ont inspiré l’époque et que vous savez si bien restituer dans leur activité et leur complexité. J’ai aimé voir passer les images de certains que j’ai approchés ( pour la plupart perdus de vue ou disparus ) : on les retrouve parfaitement. Mais ce qui m’apparaît plus puissant encore c’est votre capacité à faire vivre pour nous lecteurs votre cercle familial, à faire revivre Marie-Paule, Hubert et surtout Pierre et Philippe, ces parents et ces enfants terribles du 35. Quant à votre propre mise en images et en mots elle relève de ce que la littérature offre de meilleur. Merci, une nouvelle fois. jb

  • Sonia Padovani (12 ans)

    Bonjour,
    j’ai lu votre livre Qu’as-tu fait de tes frères? par hasard et je l’ai aimé, malgré la difficulté de la langue (je suis italienne) et, surtout, les nombreuses références à faits, lieux et personnes que je ne connaissais pas (je suis née en 1973).
    Pendant la lecture, j’ai été traînée par la spontanéité du protagoniste qui vit des évents exceptionnels, autour de lui et dans sa famille et son cercle d’amis. Toutefois, le ton du livre est posé : en lisant le livre, j’ai eu l’impression d’être conduite par main dans un monde presque inconnu, même difficile, par quelqu’un rassurant. L’opposition entre la force des situations décrites et le ton rassurant m’a étonnée et je crois que c’est ça que j’ai aimé. J’ai apprécié la sincérité et l’absence d’étalage dans la narration. Peut-être le temps passé entre les événements décrits et l’écriture a permis de relativiser les émotions. Les événements vécus vous ont donné des émotions plus fortes que celles décrites dans le livre ou vous avez vécu votre adolescence sans vous rendre bien compte de ce qui arrivait?
    Sonia

    • Claude Arnaud (12 ans)

      Bonjour, Sonia, et merci pour votre courriel.
      Vous avez raison, c’est le temps qui m’a donné la force et la distance de raconter cette tragédie avec le calme qu’on réserve aux histoires normales. La mort des me frères n’est plus une plaie ouverte, la vie perdure, je peux donc parler de ces événements avec une certaine sérénité, en tirer tout le « profit » littéraire : j’en aurais été incapable il y a encore dix ans.
      J’ai vécu mon adolescence en voyant bien qu’il nous arrivait quelque chose d’extraordinaire, mais j’étais bien loin de dominer ce « quelque chose », et il m’a fallu longtemps avant de comprendre que cela ne reviendrait plus jamais, que cela appartenait à l’histoire: on croit toujours que sa jeunesse se perpétue, dans le monde extérieur, mais elle ne le fait qu’au plus profond de soi-même, en secret.

  • *karine* (8 ans)

    Je suis en train de lire successivement « Qu’as-tu… » et « Brèves saisons… » et j’ai du mal à décrocher, d’abord parce que ce sont des bons livres, ensuite parce qu’ayant eu une jeunesse marquée aussi par les deuils et les secrets (pas les mêmes), les séparations, j’aime la façon dont vous relatez la profondeur des chagrins, et la réparation… la résilience. Vous abordez pour moi, comme le ferait un grand frère (je suis plus jeune que vous mais étant l’aînée, chez moi, c’est un sentiment rare!), des sujets dans lesquels je me suis un peu noyée plusieurs fois au cours de ma vie, et vos réponses m’intéressent et me renforcent assez. J’aurais quelques remarques autres sur la composition des livres, mais ce n’est pas la peine ici. J’ai très envie de lire votre Chamfort en tout cas.

    • Claude Arnaud (8 ans)

      Merci pour votre message, Karine, c’est bon d’apprendre que les livres qu’on compose seul, et dans le plus complet brouillard, aident parfois leurs lecteurs à ne pas se laisser emporter par la mélancolie ou le ressassement. Cette trilogie littéraire devait avoir pour moi une fonction réparatrice, et de fait elle a pleinement rempli son rôle, puisqu’elle m’a permis d’accepter tous les deuils que j’évoque, en donnant à chacun de « mes » morts un tombeau de papier. Alors, s’ils en aident aussi d’autres à vivre, s’ils leurs fournissent de raison de tenir, d’attendre, d’endurer, s’ils savent les convaincre que la vie est plus forte que nous, et donc qu’elle peut toujours nous « retourner », même quand on on se sent au fond du fond, je suis comblé.
      En vous remerciant pour votre chaleur!
      Claude Arnaud

Laisser un commentaire

Go to Top