Claude Arnaud

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Posts by Claude Arnaud

Moravia poète

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Dans son numéro 2543, daté du jeudi  13 mai 2021, LE POINT a publié un article de Claude ARNAUD consacré aux poèmes inédits de MORAVIA que publient les éditions FLAMMARION dans une traduction de René de CECCATTY et une édition d’Alessandra GRANDELIS (320 p. 31 €). Ce recueil poignant, L’Homme nu et autres poèmes, introduit de façon posthume le romancier italien vingt fois adapté au cinéma (du Mépris à l’Ennui) dans le panthéon des poètes européens du XX° siècle. Pour lire la première page de cet article… et la seconde.

Pour saluer Marie-Françoise LECLERE…

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Une messe a été dite, en l’église NOTRE-DAME-DES-CHAMPS de Paris, le lundi 3 mai 2021 pour saluer la mémoire lumineuse de Marie-Françoise LECLERE, qu’un cancer foudroyant vient d’emporter. Elle a été l’occasion de lui dire, sans qu’elle puisse protester, toute l’affection et la gratitude qu’on avait pour celle qui dirigea pendant trente ans les pages culturelles de l’hebdomadaire LE POINT, avec un mélange d’autorité, de précision et de tendresse qui transformait les relations professionnelles en autant d’occasions de complicité. Née en 1942, Marie-Françoise avait commencé sa carrière à ELLE, sous la houlette des LAZAREFF, avant d’entrer en 1979 au POINT aux côté de son ami Claude IMBERT, éditorialiste d’exception. Elle avait été la co-scénariste des MOTS POUR LE DIRE, le film de José PINHEIRO interprétée par Nicole GARCIA, aux côté de Suso CECCHI d’AMICO, la collaboratrice de LUCHINO VISCONTI. Elle avait  accompagné, affectivement et littérairement, le grand Lucien BODARD pendant le dernier tiers de sa trajectoire romanesque et avait signé Une vie pour le cinéma (éditions Grasset) un livre remarquable retraçant les aventures cinématographiques de son ami Jean-Jacques ANNAUD.

En plus d’être une grande lectrice – « Kill your darlings« , répétait-elle à ses « plumes » du Point (Marc LAMBRON, Michel SCHNEIDER,  Manuel CARCASSONNE, Christophe ONO-DIT-BIOT, l’auteur de ses lignes...), en reprenant l’injonction de FAULKNER, Marie-Françoise LECLERE était la personne la plus généreuse, la plus attentive, la plus curieuse qu’on puisse rencontrer.  Pour suivre à distance cette messe, dite en présence d’une foule nombreuse et émue

Le Mal des ruines dans la première sélection du prix Jean FREUSTIE 2021

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Le Mal des ruines fait partie des dix titres sélectionnés par le jury du 34° prix Jean FREUSTIE 2021.

Pour en savoir plus sur les titres retenus

Pour en savoir plus sur le prix Freustié

Le Mal des ruines dans ARTPRESS

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Dans son numéro 486-487, daté mars-avril 2021, ARTPRESS a publié un article de Jacques HENRIC sur Le Mal des ruines, intitulé « Un se divise en deux », un des plus aigus que la presse ait consacrée à ce livre. Pour lire in extenso cet article

(J. Henric par Hermance Triay)

Devant la caméra de Natalie VIGNE…

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Claude ARNAUD s’est longuement entretenu avec Natalie VIGNE, pour le site « In the modd for books« , à l’occasion de la sortie du Mal des ruines aux éditions Grasset. Il a évoqué pour elle son rapport à la littérature, au cinéma et à la musique, avant de revenir sur un de ses objets fétiche, le coupe-cigare de Sigmund Freud. Pour découvrir les cinq épisodes de cet entretien:

épisode 1, épisode 2, épisode 3, épisode 4, épisode 5

Pour aller sur le site « in the mood for books« …

Ce samedi 27 février, dans le quotidien belge L’Echo

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Ce samedi 27 février 2021, dans le quotidien belge L’Echo, Johan-Frédérik HEL-GUEDJ écrit au sujet du « Mal des ruines », paru chez Grasset: Claude ARNAUD s’attache à l’exercice quasi-monacal d’écrire «avec son propre sang», selon la formule nietzschéenne en exergue de son nouvel opus. Il appelait le bureau où il s’enfermait pour écrire, de plain-pied sur la rue parisienne, sa «grotte». D’emblée, avoue-t-il, «il m’arrive encore de me demander qui je suis», mais croit savoir d’où il vient. Cet ailleurs, la Corse de sa mère, Marie-Paule Benedetta, c’est le «fantôme» de son origine… Pour lire la suite de cet article
« Brillant biographe de Cocteau, Claude ARNAUD est aussi l’auteur d’une oeuvre autobiographique… (Je ne voulais pas être moi, Grasset, 2016), écrivait Jacques FRANK dans Arts Libres, le supplément culturel hebdomadaire de La Libre Belgique du 27 janvier. Ses parents, la mort tragique de ses deux frères aînés, son passage de l’amour des hommes à celui d’une “femme solaire”, ont fait l’objet de récits circonstanciés. Cette fois, il revient sur ses vacances d’enfant chez ses grands-parents en Corse, où sa famille maternelle, les ZUCCARELLI, a tenu longtemps la mairie de Bastia. Il s’interroge ensuite sur les transformations de l’ile, sur les menées indépendantistes des uns, mafieuses des autres. Pour les fidèles de l’auteur et les amoureux de l’île de Beauté…« 

Le Mal des ruines dans la presse et les blogs

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« Enquête sur soi, récit d’un amour exigeant pour une terre et une histoire qui le constituent et le désespèrent, telle est la substance du petit livre charmant et tendu, souvent au bord des larmes, que vient d’écrire Claude ARNAUD« , analyse Etienne de MONTETY dans LE FIGARO en date du jeudi 18 février 2021. Pour lire cet article in extenso

« Loin des clichés touristiques et de l’industrialisation, la Corse que Claude ARNAUD retrouve est celle du «mal des ruines», cette propension à tout conserver, même les objets hors d’usage, les maisons s’écroulant en raison de l’indivis, quand le continent adopte les objets jetables et un consumérisme frénétique, écrit Francine de MARTINOIR dans LA CROIX, en date du 18 février. L’âpre beauté des paysages montagneux et des pierres que rien ne peut changer le ramène à la mort de ses frères, PHILIPPE, par noyade, et PIERRE, atteint de maladie mentale qui se jeta dans le vide, ainsi qu’à celle, prématurée, de ses parents. La tragédie corse lui semble alors une fatalité analogue à celle du théâtre grec, le vouant, lui et les siens, à la brutalité du destin et à la mélancolie insulaire. Pour lire cet article in extenso

*Un récit « qui s’apparente à la fois à un album de photos que l’on feuillette, à un livre d’histoire que l’on bouquine, un journal que l’on compulse, un journal intime que l’on déchiffre, à un guide du routard chevronné dont on s’est équipé pour découvrir le pays corse, écrit la « lectrice obstinée » qui tient le blog « Tempsdelecture ». L’auteur donne les clefs à ceux, beaucoup d’entre nous j’imagine, qui ne les ont pas forcément pour comprendre cette ile dotée d’un fort esprit traditionaliste, qui ne s’ouvre pas forcément facilement aux continentaux. En tout cas, cela m’a permis de comprendre un peu mieux les traits de cette île au caractère indomptable et de ses habitants. Pour lire son post in-extenso, en date du 5 février 2021

Bon nombre d’auteurs s’évertuent pourtant à parler la langue de leur terre ; comme l’écrit si joliment Jacques FUSINA, et surtout ceux qui cherchent à s’en détacher. En Corse, nous ne pouvons que penser à Marie SUSINI, Angelo RINALDI et Claude ARNAUD, écrit Kevin PETRONI sur le site Musanostra, le 16 février. Tous trois liés à une île qui les renferme et les pétrifie. Marie SUSINI décrit la Corse comme le lieu « des premiers matins du monde », « le dernier reste de l’immense chaos qui déchira la nuit »… La Corse est une « renfermée », titre de l’ouvrage de SUSINI, qu’il faut fuir ; “fuir sur le champ”, de peur de finir en pierre.

Angelo RINALDI avait, lui aussi, perçu ce mal du pays natal, qui cherche désespérément à vous emprisonner. Dans Les jardins du Consulat, il évoque cette phrase d’Ernest JÜNGER, « La mort est notre premier souvenir » avant de rendre hommage « à ce pays d’où vient [le héros du roman] et où les plus belles maisons sont des tombeaux »… Le mal des ruines, dont parle Claude ARNAUD dans son texte, définit assez bien le mal de l’île. Il s’agit de cette tension entre la permanence du lieu et le devenir des hommes. Nous avons beau revenir sur nos pas, compter les années qui passent sur le sable fin, elles ne semblent pas avoir de prise sur lui. Ce n’est pas ce qui change qui nous gêne, c’est ce qui reste le même. » Pour lire ce post in-extenso

Sur Fréquence Protestante, ce samedi à 20h…

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Le Samedi 20 février 2021, Claude ARNAUD a été l’invité de Frédérick CASADESUS dans son émission « Une heure avec« … sur la radio Fréquence Protestante. Il a parlé du Mal des ruines, récit qu’il vient de publier aux éditions Grasset. Pour réécouter cette émission

« Qu’est-ce qu’un écrivain ?, demande Frédérick CASADESUS en préambule à cet entretien. Pas seulement quelqu’un qui écrit. C’est un explorateur, un voyageur, un être qui parcourt les paysages intérieurs de son imaginaire ou les territoires qui, sur notre bonne vieille planète, inspirent ses divagations de phrases et de mots. Claude ARNAUD publie Le mal des ruines ( Grasset, 125 p. 15 €), récit qui décrit le lien très fort qui l’attache à la Corse, la terre d’une partie de ses ancêtres. Mais plus qu’un livre classique de remémoration, Claude ARNAUD construit de page en page une réflexion sur la mort et la vie. Libre et courageux, dégageant les lignes de forces de son propre destin, l’écrivain révèle beaucoup de lui-même au cours de cet entretien. »

Claude ARNAUD sur France-Culture

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Le Jeudi 18 février, de 15 à 16 heures, Claude ARNAUD a été l’invité en direct de Matthieu GARRIGOU-LAGRANGE, sur France-Culture,  dans la 4° et dernière émission de la Compagnie des Oeuvres dédiée à COCTEAU. Pour réécouter cette émission, dans son intégralité

Annick Geille salue Le mal des ruines

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Annick GEILLE salue le 14 février  Le mal des ruines sur le site ATLANTICO : « De nombreux « écrivants » publient, mais il est peu d’écrivains. Claude Arnaud appartient à la seconde catégorie. La question de son nouveau livre, Le mal des ruines (Grasset), s’articule autour des difficultés de la quête de soi. Ce récit d’un voyage en Corse, loin d’être anecdotique, est emprunt d’une mythologie donnant au texte sa profondeur de champ. L’ interrogation existentielle de l’auteur-narrateur (cf. l’identité, le mystère des origines), est celle d’un homme ressentant la culpabilité d’une vie « usurpée », volée en somme. Le narrateur revient au « pays de son enfance », se reprochant de vivre, quand ceux qu’il aimait n’ont pas eu cette chance (…) Consolant et fort, sans afféteries. » Pour lire cet article in ex-extenso… 

 

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