Affinités

Jean LEBRUN chronique « Picasso contre Cocteau »

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Dans son émission quotidienne « Le Vif de l’Histoire », sur France-Inter, et à l’occasion du 50° anniversaire de la mort du peintre, JEAN LEBRUN a chroniqué, le 7 avril 2023, le « Picasso contre Cocteau » de Claude ARNAUD, tout juste paru aux éditions GRASSET. Pour écouter cette chronique

Oriane Jeancourt Galignani a lu « Picasso tout contre Cocteau » pour Transfuge

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Dans son numéro 167, daté d’avril 2023, TRANSFUGE publie un article d’Oriane JEANCOURT GALIGANI consacré au « Picasso tout contre Cocteau » de Claude ARNAUD. « C’est…l’une des grandes forces du livre de placer en parallèle les évolutions des deux (créateurs), écrit l’écrivaine et critique. II insiste sur le fait que l’un et l’autre ne cessent d’emprunter aux mouvements de leur temps…. Mais COCTEAU se bat et travaille, presqu’autant que PICASSO, bien qu’il ne puisse avoir la constance inhumaine du Malaguène. Rien ne perturbe PICASSO (…) Autrui n’est pour lui qu’un miroir fané, écrit Claude ARNAUD » Pour lire cet article in extenso…

Quand Etienne DUMONT lit « Picasso tout contre Cocteau »

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Dans BILAN, le bi-mensuel économique helvétique, Etienne DUMONT rend compte avec chaleur, en date du 25 mars 2023 de « Picasso tout contre Cocteau ». « Il est apparemment des sujets inépuisables. Surtout s’il s’agit de «monstres sacrés». Ainsi en va-t-il de COCTEAU (qui inventa du reste l’expression) et de PICASSO. Ils se trouvent à nouveau réunis dans le nouvel ouvrage de Claude ARNAUD. Dans sa préface, ce dernier rapproche le livre de son «Proust contre Cocteau» de 2013. Il craignait déjà de se répéter dix ans après la sortie de sa biographie à rallonges sur COCTEAU de 2003. Elle ne comptait pas moins de 864 pages. Très agréables à lire selon moi, d’ailleurs. «J’avais peur de me répéter.» Eh bien apparemment pas! (…) Le biographe et autobiographe (dont j’avais beaucoup aimé en 2010 «Qu’as-tu fait de ses frères»ARNAUD racontait avec vivacité ses fugues contestataires, à treize ans, dans le Paris de 1968) remet donc aujourd’hui la compresse. On a déjà autant écrit sur PICASSO que sur COCTEAU et PROUST réunis. De quoi remplir une bibliothèque. L’essentiel réside donc dans l’art de la narration« ….Pour lire in extenso son papier...

Dans son numéro du 25 mars, BIBLIOS cite « Picasso tout contre Cocteau » parmi les livres de la semaine à ne pas rater…

Sur le métier de professeur…

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LE POINT, dans son numéro daté du 2 mars 2023, publie un article de Claude ARNAUD consacré à deux livres, l’un de Mathieu PIEYRE l’autre de Gilles SEBHAN, témoignant de ce qu’est aujourd’hui le métier de professeur. Pour voir cet article en ligne.

 

La grande COLETTE est née il y a 150 ans…

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Dans son édition électronique du 16 janvier 2023, LE POINT a publié un article de Claude ARNAUD consacré à l’oeuvre de COLETTE, dont on célèbre le 150ème anniversaire. Pour lire l’amorce de cet article

Pour le lire in extenso, avant les coupes exigées par la publication…

(Colette par Reutlinger, en 1907, Bridgeman images)

Sur le PROUST OCEAN de DANTZIG

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Ce jeudi 20 octobre 2022, dans son numéro 2620, LE POINT a publié, sous le titre Proust en poulpe,  un article de Claude ARNAUD sur l’essai que Charles DANTZIG vient de publier à l’occasion du 100ème anniversaire de la mort de l’auteur de La Recherche. Pour découvrir cet article…

Quand une population refuse d’être asservie…

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Difficile de ne pas éprouver une joie allègre et mauvaise à la fois, en voyant les déboires infligés à l’armée d’invasion russe en Ukraine. Issu du monde télévisé, Volodymyr ZELENSKI avait paru ne pas prendre au sérieux les menaces d’invasion de son pays avant l’agression barbare de février, mais il a su convertir son intelligence, son énergie et son humour pour galvaniser la population ukrainienne, aux premiers jours de l’Occupation. Sa réplique aux Américains proposant de l’exfiltrer – J’ai besoin d’armes, pas d’un taxi – était  digne du To be or not to be, de Lubitsh, où une troupe de comédiens juifs parvient à leurrer l’envahisseur nazi au service de la résistance. Son discours d’avant-hier, pour célébrer la reconquête de milliers de km2 dans l’oblast de KHARKIV, a semblé digne des  tragédies de Shakespeare, sinon des proclamations de Toussaint Louverture, le héros national haitien. En s’adressant directement aux Russes, l’ex stand-up comic a prouvé que la fragilité pouvait être plus intelligente que la force et payante que la brutalité (viols, pillages, bombardements aveugles) de la soldatesque russe :

« Pensez-vous toujours que nous ne sommes « qu’un seul peuple » ?
Pensez-vous encore que vous pouvez nous effrayer, nous briser, nous persuader de faire des concessions ? Vous ne comprenez donc vraiment rien ? Vous ne comprenez donc pas qui nous sommes ? Ce que nous défendons ? De quoi il s’agit pour nous ?

Lisez sur mes lèvres : Sans gaz ou sans vous ? Sans vous.
Sans électricité ou sans vous ? Sans vous.
Sans eau ou sans vous ? Sans vous.
Sans nourriture ou sans vous ? Sans vous.
Parce que pour nous le froid, la faim, l’obscurité et la soif ne sont pas aussi terribles et mortels pour nous que votre « amitié et fraternité ». »

Un entretien avec Claude ARNAUD dans QUI

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Dans son numéro 4, daté de l’été 2021, la magazine quadrimensuel corse QUI a publié un entretien avec Claude ARNAUD mené par Marie-France BERENI-CANAZZI autour de l’identité corse et de la littérature. Pour découvrir cette interview:      Page 1. Page 2. Page 3. Page 4. Page 5. Page 6. Page 7Page 8.   Page 9

Pour découvrir le sommaire de ce numéro de QUI

La mort du grand Pietro CITATI

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(DUKAS/GAMMA/EYEDEA)

Le grand essayiste italien Pietro CITATI est mort, ce 28 juillet 2022, dans sa résidence toscane. Claude ARNAUD lui rend hommage sur le site du POINT en ces termes:  » C’est un grand essayiste, un vrai Européen et un incroyable érudit qui vient de mourir en Toscane à 92 ans. Né à Florence en 1930 dans une famille de la noblesse sicilienne, Pietro CITATI  aura dédié sa vie aux auteurs les plus marquants de notre culture – Tolstoï, Kafka, Goethe, Proust, Leopardi, Baudelaire, Manzoni. Non seulement il s’emparait de leur vie, dans ce qu’il se refusait à appeler des biographies, mais il revivait leurs tourments, s’immisçait dans leur conscience, réécrivait à sa façon leurs livres, devenait littéralement eux, des années durant.

Étrangère aux critères universitaires, l’érudition de CITATI était gourmande et joyeuse. D’emblée, elle captait l’attention par sa suavité – il n’a pas consacré par hasard un essai à La voix de Shéhérazade. On croyait entendre la sienne en le lisant, tant sa langue était apte à saisir, par son exceptionnelle fluidité, les allers et retours d’une conscience et les aléas d’une vie. Nourri d’une mythologie qui reste vivante en Italie, CITATI aimait plus que tout les métamorphoses des héros qu’il ressuscitait, qu’ils soient réels (Alexandre le Grand), fictifs (Ulysse dans La Pensée chatoyante) ou divins (La Lumière de la nuit). Sereines, puissantes, lumineuses, ses idoles régnaient dans le ciel des Idées comme le Jupiter d’Ingres, tour à tour terrible et doux : « Il s’identifie toujours à des personnages qui s’identifient à leur tour à l’univers », disait de lui Italo Calvino.

Arthur Dreyfus chronique avec enthousiasme « Juste un corps » sur Radio-Canada

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Ce 12 avril 2022, dans l’émission « plus on est de fous, plus on lit! » sur Radio Canada, Arthur DREYFUS a chroniqué avec enthousiasme « Juste un corps » devant les micros de Marie-Louise ARSENAULT . Après avoir commenté six minutes durant le résultat du première tour de la Présidentielle, l’auteur du « Journal sexuel d’un garçon d’aujourd’hui«  (2011, POL) revient sur ce livre, qu’il situe à mi-chemin de l’essai et de l’autobiographie. Pour écouter cette « Actualité culturelle à Paris avec Arthur DREYFUS »

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