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Sur la rentrée littéraire 2019…

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Le jeudi 22 aout 2019, LE POINT a publié, dans son numéro 2451, le premier article de CLAUDE ARNAUD consacré aux livres de la rentrée littéraire 2019. Intitulé « Deux ans au claque », il traite du troisième roman de Emma BECKER, « La maison », publié par les éditions Flammarion. Emma BECKER s’est enrôlée dans une maison close de Berlin, délibérément,  s’est glissée dans le lit humide des Mädchen, et fait avec une lucidité féroce le bilan de cette expérience, une sorte de service militaire au féminin.

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Dans le Hors-Série du Point consacrée à PROUST

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Dans son numéro Hors-Série daté juillet-août 2019 intitulé « Le Grand Monde de PROUST », LE POINT publie quatre textes de Claude ARNAUD, l’un dédié à celui qu’il a baptisé « NARRAPROUST », le vrai-faux auteur de La RECHERCHE, cet hybride du « Petit Marcel » et du grand Narrateur, dans son Proust contre Cocteau (Grasset, 2013, Arléa-poche 2019),  l’autre au baron de CHARLUS, personnage-clef de ce grand livre, le troisième à JUPIEN, le tenancier du bordel où le Narrateur fait de stupéfiantes découvertes sur la vie érotique du précédent, le dernier à MOREL, le violoniste-gigolo qui enflamme le coeur de jeune fille de CHARLUS, sans compter un article dédié à BERGOTTE, le « grand » écrivain que le Narrateur admire tant, et qui mourra devant le petit pan de mur jaune de Vermeer…

Pour découvrir l’introduction et le sommaire de ce HORS-SERIE

Pour commander en ligne ce HORS-SERIE...(Claude Arnaud par Laura Stevens)

« Proust contre Cocteau » vu par Erwan DESPLANQUES dans SUD-OUEST

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Dans la rubrique « C’est en poche » publié dans le SUD-OUEST du 3 mars 2019, dans un article intitulé « Les amitiés maléfiques », Erwan DESPLANQUES écrit: « À vingt ans d’intervalle, PROUST et COCTEAU ont étudié au lycée Condorcet, ont couru les bals puis les honneurs ; ce sont deux mondains – l’un triste, l’autre joyeux-deux « miroirs jumeaux » (dixit PROUST) dont les reflets vont se distordre au fur et à mesure de leur ascension dans le monde des lettres. « Peu d’écrivains se sont autant aimés, enviés, jalousés », écrit Claude ARNAUD dans ce livre magnifique qui, au-delà du portrait croisé, sonde l’énigme du geste créateur. »

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La ressortie de « Proust contre Cocteau » salué par Jacques FRANK dans La Libre Belgique

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Le 27 février 2019, dans son tout nouveau supplément culturel intitulé « Arts Libre », La Libre Belgique a publié un article de Jacques FRANK saluant la ressortie, en collection Arléa Poche, du Proust contre Cocteau en ces termes:

« Les éditions Arléa republient le brillant essai de Claude Arnaud sur l’étrange relation qui unit un temps Marcel PROUST, né en 1871, et Jean COCTEAU, né en 1889. Ils se rencontrèrent autour de 1910, le premier n’ayant encore rien publié de significatif, le second, poète brillant et drôle, virevoltant du salon de la comtesse de Noailles aux coulisses des Ballets russes. PROUST, fasciné, éprouva pour lui un “amour impossible”, asphyxiant, jusqu’au moment où Gide et la NRF le consacrèrent grand écrivain. Il laissa alors tomber COCTEAU, justifiant ce que Lucien DAUDET lui avait dit un jour : “Marcel est génial, mais c’est un insecte atroce”. Le romancier des Enfants terribles fut un des rares écrivains à multiplier les réserves sur La Recherche, comme s’il ne connaissait que trop bien… l’envers du décor. » J.F.

(en vitrine de la lib Delamain, au Palais-Royal; ph: Anne Bourguignon)

Sur le dernier livre d’Elisabeth FILHOL…

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Le Point, dans son N° 2420  – daté du 17 Janvier 2019 – a publié un article de Claude ARNAUD au sujet du dernier livre d’Elisabeth FILHOL, Doggerland, tout juste paru chez POL…

Pour découvrir l’amorce de cet article, paru sous le titre « Biologie d’un amour »

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Sur le dernier roman de Gilles MARTIN-CHAUFFIER

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Le 1§ décembre 2019, LE POINT a publié un article de CLAUDE ARNAUD sur L’ère des suspects (éd. Grasset) le dernier roman de Gilles MARTIN-CHAUFFIER, sous le titre « Condé ou caillera? » Pour lire cet article… (ph:Hélène Pembrun)

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« Portraits Crachés » vu par le Canard Enchaîné

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Frédéric PAGES, dans sa rubrique hebdomadaire « Lettres ou pas Lettres », publie un compte-rendu des PORTRAITS CRACHES de Claude ARNAUD (Bouquins) – « monument de 500 portraits tirés de Mémoires, de lettres, de romans, superbe pièce montée à picorer dans le désordre et sans retenue« . Pour lire in-extenso cet article, publié dans le Canard Enchaîné du 11 juillet 2018

ARTPRESS salue « PORTRAITS CRACHES »

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Dans le numéro 453 d’ARTPRESS, daté mars 2018, Alix AGRET écrit : « Claude ARNAUD pourrait faire sien le constat d’un des plus grands  portraitistes (sinon le plus grand ?) de l’histoire de la littérature française. SAINT-SIMON l’avoue : « les singularités curieuses ont fait couler ma plume ». Elles ont aussi aiguillonné le désir de Claude ARNAUD qui s’est fait un devoir de les traquer, non plus seulement chez les courtisans dont le mémorialiste dépeçait les tares et petitesses de sa plume assassine mais également dans tout ce que l’introspection et la dissection d’autrui ont produit d’humanité singulière en littérature. Déjà il s’était fait le biographe de CHAMFORT puis de Jean COCTEAU. Il n’a cessé de ferrailler avec les contours fluctuants de l’être, ses énigmes, ses impostures et ses contradictions, chez les siens (Qu’as tu fait de tes frères ?) ou chez les autres (Le caméléon roman) – limpide est à cet égard le titre de son essai Qui dit je en nous ? : une histoire subjective de l’identité (…)

COCTEAU affirmait que le poète est exact. Et il y a de l’exactitude dans cet ouvrage ciselé où Claude ARNAUD recueille, infatigable, et avec force détails, les variations d’un genre protéiforme tout en assumant la subjectivité de sa sélection ». Pour découvrir le sommaire de ce numéro d’ARTPRESS

Pour trouver PORTRAITS CRACHES en librairie

Cet art si français du portrait…

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« L’inélégance du titre se fait vite oublier, écrit dans le SUD-OUEST Dimanche du 6 décembre 2017 Isabelle BUNISSET, en évoquant la parution de PORTRAITS CRACHES, un trésor littéraire, de Montaigne à Houellebecq (BOUQUINS Robert Laffont). Dès la préface, admirablement écrite, retraçant la longue histoire d’un genre littéraire, tour à tour réprouvé et prisé. Dans cette anthologie à la subjectivité parfaitement assumée, Claude ARNAUD – essayiste, biographe, critique littéraire – révèle le rôle déterminant du portrait et de l’autoportrait dans le tropisme individualiste et l’évolution de la société. S’en tenant presque exclusivement à des textes écrits en  langue française, il en a collecté près de cinq cent, issus de mémoires, romans, poésies, fables, maximes (…) Il faut saluer l’entreprise ardue, l’immense labeur que représente cette somme. Tout comme la finesse des analyses magnifiées par l’élégance de l’écriture. Aucun esprit de célébration compassée. En surface,  tous ces textes sont dissemblables, en profondeur ils communiquent par cette volonté de s’approcher de l’énigme. La chose se retire à mesure  qu’on l’approche. Inlassable quête que Claude ARNAUD nous donne à entendre dans sa belle mélopée. Chapeau bas. »

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Pour trouver PORTRAITS CRACHES en librairie

(ph. Hannah Assouline)

« PORTAITS CRACHES » dans LE MAGAZINE LITTERAIRE

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Dans le chapeau d’un article intitulé Gueules d’anthologie,Le Magazine littéraire n° 58, daté du mois de novembre 2017, évoque« une somme magistrale sur l’art du portrait en littérature : une anthologie des plus grandes plumes en la matière (de Montaigne à nos jours), mais aussi une histoire du genre qui dit beaucoup sur l’écriture à la française. »

« En 2006, écrit Camille Thomine, Claude ARNAUD se demandait Qui dit je en nous ? dans un essai sur la fabrique de l’identité où défilaient cas d’impostures et personnalités flottantes. Quelques années plus tard, dans Qu’as-tu fait de tes frères et Je ne voulais pas être moi, il dévoilait sa propre multiplicité : l’enfance à l’ombre d’aînés intransigeants et bien trempés et le désir d’endosser à rebours plusieurs existences. Repousser les limites du moi et s’autoriser, à chaque impasse existentielle, un pas de côté salvateur. Rien d’étonnant, donc, à le voir signer en cette rentrée une dense anthologie du portrait, genre par excellence de la construction de soi (…) « Caméléon » de nature, Claude ARNAUD glisse avec délice du réel à la fiction, de la pommade au pugilat et du grand auteur au confidentiel… si bien qu’on peut tout autant piocher au hasard du volume que se laisser porter par l’enchaînement souple et quasi narratif des effigies (…)       

 La réussite de cette anthologie, placée sous le signe de l’ouverture, de la curiosité et de la joie, conclue Camille THOMINE, tient à ces jeux picassiens de miroirs et de collages qui témoignent de la vitalité de la littérature… mais aussi au plaisir contagieux de Claude ARNAUD, dont les qualités de lecteur se doublent d’un don certain pour le croquis. A chaque page on est frappé par la finesse de l’analyse, l’à-propos des citations et la saveur de métaphores… »

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