Archive for janvier, 2022

Michel SCHNEIDER et Fabien RIBERY au sujet de JUSTE UN CORPS

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Dans LE POINT n°2581, daté du 27 janvier 2022, Michel SCHNEIDER a rendu compte du dernier livre de Claude ARNAUD dans un « papier » intitulé « EN CORPS » qui commence ainsi: « Qui d’entre nous dans la maladie n’a souffert d’avoir juste un corps? Qui n’a joui dans l’amour d’être juste un corps? Et quand le corps appartient à un écrivain… comment se jouent, se nouent, se combattent, le travail (…) et les plaisirs physiques ? (…) Pour lire cet article in extenso….

(Ph: Francesca Mantovani, dr)

« JUSTE UN CORPS est un livre stoïcien« , écrit pour sa part Fabien RIBERY sur son blog, avant d’analyser les ressorts de ce récit intime

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Les INROCKS saluent JUSTE UN CORPS

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Le 26 janvier 2022, Gérard LEFORT a salué, sur le site des INROCKS, un « bel autoportrait funéraire et plein de vie. »

« Dans l’Ethique, écrit-il, SPINOZA suggère qu’il y a un « incorporel des corps aussi puissant que l’inconscient de la pensée« . Claude ARNAUD dans son Juste un Corps mêle ses deux spécialités littéraires, l’autobiographie et l’essai... » Pour lire la suite de cet article

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A l’antenne de la Radio Télévision suisse

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Le 20 janvier 2022, la Radio Télévision Suisse a mis en ligne l’interview que Claude ARNAUD a accordé à Céline O’CLIN dans le cadre de QWERTZ, la newsletter de la RTS, sur son nouveau livre, JUSTE UN CORPS, paru au Mercure de France dans la collectionTraits et portraits dirigée par Colette FELLOUS. « Avec Juste un corps, Claude ARNAUD nous livre un écrit à la fois intime et universel, écrit Céline O’CLIN dans sa présentation, le tout dans une écriture chaude et profonde dont la douceur tranche, par instants, avec l’incroyable crudité et concrétude du propos(…) Juste un corps est un livre pas plus lourd que 200g et qui peut prétendre nourrir l’entier des corps de toutes celles et ceux qui choisiront de se le procurer, de suite, ou plus tard. Car il est de telle facture qu’on peut déjà dire de lui qu’il est intemporel Pour écouter l’intégralité de cet entretien

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(Sur les rayonnages de la librairie l’Ecume des Pages, à Paris)

TELERAMA s’enthousiasme pour « JUSTE UN CORPS »

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Dans le numéro de TELERAMA daté du mercredi 12  octobre 2022, Stéphane ELHES écrit: « Un écrivain est aussi un corps. Trentième auteur invité à se livrer à l’exercice de l’autoportrait dans l’originale et belle collection Traits et portraits, Claude ARNAUD choisit ainsi de donner la parole (mots, phrases et images à
l’appui) à cet amas de muscles, viscères et artères qui forme cependant un ensemble de 1,83 mètre pour 72 kilos, mains de pianiste et pied grec, mais qui «ne [se]comprend guère». Juste un corps, donc. Et Claude ARNAUD d’évoquer les étapes de sa vie par ce prisme physique… »

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Sur l’homosexualité en Corse

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Claude ARNAUD a témoigné au sujet de l’homosexualité en Corse au cours d’une passionnante émission consacrée au sujet par le magazine télévisé insulaire SUCETA, en date du 10 décembre 2021, sur la chaine FR3  Corse Via Stella . Pour revoir cette émission sur Youtube

Quand DIACRITIK s’en mêle…

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Ce jeudi 6 janvier de l’an de grâce 2022, DIACRITIK a chaleureusement accueilli, sous la plume experte de Jean-Pierre CESCOSSE, la sortie en librairie de JUSTE UN CORPS.  Intitulé Le corps du Claude: portrait de l’écrivain dans le vif, cet article met en exergue le parcours de l’auteur de Chamfort (Robert Laffont, 1987) et de Proust contre Cocteau (Grasset, 2013). « Il n’est pas impossible que ces deux livres aient pu inspirer à des lecteurs l’envie de recourir au mot « chef d’œuvre », écrit Jean-Pierre CESCOSSE. Sans me porter à ces extrémités (dans l’incapacité où je me trouve de définir en quoi consiste précisément un « chef-d’œuvre »), je me contenterai de souligner qu’outre leur précieux contenu informatif, il est indéniable que des lectures réitérées n’en épuisent ni la substance ni la singularité. C’est dire si Juste un corps, qui vient de paraître au Mercure de France dans la collection Traits et portraits dirigée par Colette FELLOUS, se devait de tenir la route. Pactiser avec le médiocre ferait offense à ces impressionnants prédécesseurs. Mettons un terme au suspense : ce n’est pas le cas. » Pour lire cet article in extenso

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Crédit photo de gauche: Francesca Montovani, 2021, pour les éditions Gallimard  Photo de droite: Dominique Païni, à la devanture de la librairie Delamain, au Palais-Royal de Paris

Transfuge met Juste un corps en lumière

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Dans son numéro 154 daté de janvier 2022, TRANSFUGE met en lumière JUSTE UN CORPS. Intitulé « Dans ses narines », l’article de Vincent JAURY célèbre un texte « d’une très grande maitrise » et commence ainsi :  » CLAUDE ARNAUD n’écrit jamais aussi  bien que lorsqu’il entreprend des récits hybrides. On se souvient de son très beau Qui dit je en nous? Et là, il re-signe un bel ouvrage, de cette langue classique, ligne claire et égale, Juste un corps. L’exercice est simple, quoique d’une complexité considérable : CLAUDE ARNAUD s’attelle à se disséquer… sous toutes ses coutures.  » Pour lire cet article in-extenso

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