Juste un corps : en France
-Pour feuilleter les premières pages de Juste un corps...
*DANS LA PRESSE
*Dans son numéro 154 daté de janvier 2022, le mensuel TRANSFUGE met en lumière JUSTE UN CORPS. Intitulé « Dans ses narines », l’article de Vincent JAURY célèbre un texte « d’une très grande maitrise » et commence ainsi : « CLAUDE ARNAUD n’écrit jamais aussi bien que lorsqu’il entreprend des récits hybrides. On se souvient de son très beau Qui dit je en nous? Et là, il re-signe un bel ouvrage, de cette langue classique, ligne claire et égale, Juste un corps. L’exercice est simple, quoique d’une complexité considérable : CLAUDE ARNAUD s’attelle à se disséquer… sous toutes ses coutures. » Pour lire cet article in-extenso…
*Le 6 janvier 2022, le magazine en ligne DIACRITIK accueillie sous la plume experte de Jean-Pierre CESCOSSE la sortie en librairie de JUSTE UN CORPS. Intitulé Le corps du Claude: portrait de l’écrivain dans le vif, l’article met en exergue le parcours de l’auteur de Chamfort (Robert Laffont, 1987) et de Proust contre Cocteau (Grasset, 2013). « Il n’est pas impossible que ces deux livres aient pu inspirer à des lecteurs l’envie de recourir au mot « chef d’œuvre », écrit Jean-Pierre CESCOSSE. Sans me porter à ces extrémités (dans l’incapacité où je me trouve de définir en quoi consiste précisément un « chef-d’œuvre »), je me contenterai de souligner qu’outre leur précieux contenu informatif, il est indéniable que des lectures réitérées n’en épuisent ni la substance ni la singularité. C’est dire si Juste un corps, qui vient de paraître au Mercure de France dans la collection Traits et portraits dirigée par Colette FELLOUS, se devait de tenir la route. Pactiser avec le médiocre ferait offense à ces impressionnants prédécesseurs. Mettons un terme au suspense : ce n’est pas le cas. » Pour lire cet article in extenso…
Dans le numéro de TELERAMA daté du mercredi 12 octobre 2022, Stéphane ELHES écrit: « Un écrivain est aussi un corps. Trentième auteur invité à se livrer à l’exercice de l’autoportrait dans l’originale et belle collection Traits et portraits, Claude ARNAUD choisit ainsi de donner la parole (mots, phrases et images à
l’appui) à cet amas de muscles, viscères et artères qui forme cependant un ensemble de 1,83 mètre pour 72 kilos, mains de pianiste et pied grec, mais qui «ne [se]comprend guère». Juste un corps, donc. Et Claude ARNAUD d’évoquer les étapes de sa vie par ce prisme physique… » Pour lire cet article in extenso…
Le 26 janvier 2022, Gérard LEFORT a salué, sur le site des INROCKS, un « bel autoportrait funéraire et plein de vie. » »Dans l’Ethique, écrit-il, SPINOZA suggère qu’il y a un « incorporel des corps aussi puissant que l’inconscient de la pensée ». Claude ARNAUD dans son Juste un Corps mêle ses deux spécialités littéraires, l’autobiographie et l’essai... » Pour lire la suite de cet article…
Dans LE POINT n°2581, daté du 27 janvier 2022, Michel SCHNEIDER rend compte du dernier livre de Claude ARNAUD dans un « papier » intitulé « EN CORPS » qui commence ainsi: « Qui d’entre nous dans la maladie n’a souffert d’avoir juste un corps? Qui n’a joui dans l’amour d’être juste un corps? Et quand le corps appartient à un écrivain… comment se jouent, se nouent, se combattent, le travail (…) et les plaisirs physiques (…)? Pour lire cet article in extenso….
Dans son feuilleton pour Le Monde des Livres daté du vendredi 4 février 2022, Camille LAURENS analyse avec une grande finesse, dans un article intitulé La peau sur les mots, les enjeux physiques et littéraires de JUSTE EN CORPS, tout en resituant ce livre dans la trajectoire de son auteur. « Les lecteurs de son essai QUI DIT JE EN NOUS? (Grasset 2006) ne seront pas surpris du rapport ambivalent que Claude ARNAUD entretient avec son corps. « Je ne fais pas corps avec lui », écrit-il plaisamment. Le jeune homme « camélon » au prénom épicène attiré par les garçons et les fortes personnalités, aurait parfois volontiers changé de tunique existentielle... » Pour lire in extenso cet article du Monde des Livres…
Jacques HENRIC consacre, dans le numéro 498 du mensuel ARTPRESS daté d’avril 2022, sa chronique littéraire à JUSTE UN CORPS – un article aussi chaleureux et aigu que bienveillant. « Voulant rompre avec un corps et un visage qui vers 18-20 ans le faisaient appeler « Mademoiselle » et ressembler, selon un de ses amants, à Silvana MANGANO (dessin et photo tout à fait convainquant), écrit-il, Claude ARNAUD va entreprendre de se donner à l’exemple de MISHIMA un « corps dur, viril, ascétique ». Hélas! s’affamant à l’excès, le voilà devenu anorexique. Il lui faut tout reprendre. C’est alors que lui vient une conscience nouvelle de ce qu’est un corps: « Un moulin ayant besoin constant d’eau, de vent, de soleil et de farine pour tourner ». Pour lire cet article in extenso…
Dans son édition du 30 mars 2022, le quotidien SUD-OUEST publie quant à lui un bel article d’Isabelle BUNISSET. Pour lire ce papier in extenso…
*A LA RADIO
CLAUDE ARNAUD a été l’invité en direct de Valère-Marie MARCHAND sur Radio-Libertaire, dans le cadre de son excellente émission hebdomadaire BIBLIOMANIE, le 3 février 2022, de 15h à 16.30. Pour retrouver cette émission en podcast...
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*DANS LES LIBRAIRIES
Le 17 février 2022, CLAUDE ARNAUD présenté « JUSTE UN CORPS » à la libraire LES NOUVEAUTES, dans le faubourg du Temple à Paris. Le livre est resté longtemps en devanture des librairies Delamain, Compagnie, l’Ecume des pages…
(chez Delamain, au Palais-Royal)
*DANS LES BLOGS
- « JUSTE UN CORPS est un livre stoïcien », écrit pour sa part Fabien RIBERY sur son blog, avant d’analyser les ressorts de ce récit intime…
- « JUSTE UN CORPS » est un petit livre couleur chair, comme un organe qu’on tiendrait entre les mains. Il n’est pas épais, juste une centaine de pages, un livre qui semble bien maigre, rapide à ingérer et s’avère en fin de compte extrêmement nourrissant. Publié dans l’originale et belle collection « Traits et portraits », une collection regroupant des auteurs se livrant avec bonheur au jeu de l’autoportrait accompagné d’une iconographie et d’archives personnelles, Claude ARNAUD nous rappelle dans « JUSTE UN CORPS » une réalité souvent délaissée : c’est à partir de son corps que l’écrivain s’exprime (…) Un livre d’une grande profondeur et d’une tendresse confondante, ajoute JONGORENARD sur le site BABELIO, un petit livre que l’on peut juger bien maigre en raison d’une écriture à l’os faite de phrases musclées et nerveuses, en raison d’un style direct, rapide et sans vernis qui va à l’essentiel. Un livre que l’on peut qualifier d’anorexique, mais qui par la densité de ses analyses et la richesse des sensations qu’il procure rassasiera les plus friands d’entre nous. » Pour lire ce post in-extenso…
- « Claude Arnaud , essayiste et romancier publie » JUSTE UN CORPS » dans la collection « Traits et Portraits » dans laquelle divers auteurs se sont prêtés au jeu de l’écriture soutenue par l’illustration, écrit Lillaluiz sur son blog. Une couverture qui évoque le corps , un papier glacé, des lignes qui esquissent notre propre maison, celle de notre enveloppe, des photos ou coups de crayons pour renforcer cette substance littéraire. Un bien joli objet que ce livre ; son contenu n’en est pas moins élégant (…) Un livre/récit étonnant et captivant. » Pour lire ce post in extenso…
- « Juste un corps » est un bel objet littéraire. Il prolonge, avec plus de poésie, le « Journal d’un corps » de Daniel PENNAC « , peut-on lire sur le Blog LITTERAFLURE…
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