Pour en finir avec l’autocrate du KREMLIN/To finish with the autocrat of KREMLIN
Aujourd’hui, mardi 1° mars 2022, cinquième jour de l’offensive menée par l’armée russe en UKRAINE, les centres administratifs des villes de Kharkiv/Karkov (1, 5 millions d’habitants) et de Tchernihiv (300.000 habitants) ont été lourdement bombardés pendant la nuit. Des tours d’habitations civiles ont été prises pour cibles sur tout le territoire par des obus destinés à terroriser. Il est de plus en plus clair que la politique du tapis roulant qui a permis à Poutine de détruire Grozny, pendant la seconde guerre de Tchtéchénie, et de rendre l’essentiel de la Syrie à son dictateur héréditaire va être mise en oeuvre en Ukraine, pays de 45 millions d’habitants situé à 4 heures d’avion de Paris (pour Lviv/Lvov). Les écoles, les hôpitaux, les depôts de biens essentiels (farine, essence) les centrales et les barrages électriques seront ses prochaines cibles. Cette boucherie programmée ne peut aboutir. La chute de l’UKRAINE, dont le despote a décrété qu’elle n’existait pas, annoncerait celle des pays Baltes et de la Finlande, de la Pologne, de la Bulgarie, de la Moldavie, et la réalisation du grand rêve morbide de l’ancien voyou de St-Pétersbourg: le rétablissement de l’autocratie d’esprit tsariste sur tout le territoire de l’ex-empire soviétique, jusqu’à Prague et Dresde, dont il fut le KGBiste attitré. La maladie du Kremlin – mégalomanie, paranoïa, autisme – a fait une nouvelle victime, après Ivan le Terrible et Staline. La Russie est en passe de redevenir la prison des peuples que Lénine lui-même dénonçait. Il y aura, espérons-le, quelques généraux pour estimer qu’ils ne sont plus que de simples exécutants de la politique des Services Secrets, ce gang d’empoisonneurs et d’assassins (Anna Politovskaïa, Alexandre Livitnenko, Boris Nemtsov, Alexeï Navalny, etc, etc…) Déjà l’on pouvait deviner de lourdes réticences sur le visage du chef des services de renseignements, du ministre de la guerre et du chef des armées, à mesure que l’autocrate leur demandait leur « avis » ou leur assénait ses ordres, à la veille de l’offensive. Espérons que quelques oligarches assez charitables pour penser à leur portefeuille avant leur « patrie » viendront financer leurs efforts et que Poutine finira exécuté par ses sbires, comme les Ceaucescu.
Il doit tomber, si nous voulons rester libres. Un pacte sino-soviétique, de fait ou de droit, viendra sinon partout imposer le règne de la tyrannie et la mystique de l’impérialisme.
During the night of 28 February to 1 March of the Russian army’s offensive in UKRAINE, the administrative centers of the cities of Kharkiv/Karkov (1.5 million inhabitants) and Chernihiv (300,000 inhabitants) were heavily bombarded. Civilian buildings were targeted all over the territory by bombs intended to terrorize. It is becoming increasingly clear that the policy that allowed Putin to destroy Grozny during the second Chechen war and to return most of Syria to its hereditary dictator is going to be implemented in Ukraine, a country of 45 million inhabitants located 4 hours by plane from Paris (to Lviv/Lvov).
Schools, hospitals, depots of essential goods (flour, gasoline), power stations and electric barrages will be its next targets. This programmed butchery cannot succeed. The fall of UKRAINE, which the despot has decreed does not exist, would herald the fall of the Baltic States and Finland, Poland, Bulgaria, Moldavia, and the realization of the great morbid dream of the former thug of St. Petersburg: the re-establishment of the tsarist-style autocracy on the whole territory of the former Soviet empire, up to Prague and Dresden, of which he was the official KGB.
The disease of the Kremlin – megalomania and paranoia – has claimed a new victim, after Ivan the Terrible and Stalin. Russia is in the process of becoming once again « the prison of the peoples » that Lenin himself denounced. Hopefully, there will be some generals who will consider that they are now mere executors of the policy of the Secret Services, this gang of poisoners and assassins (Anna Politovskaya, Alexander Livitnenko, Boris Nemtsov, Alexei Navalny, and so on.)
Already, one could see the heavy reticence on the faces of the Chief of the intelligence services, the Minister of War and the Chief of the Army, as the autocrat asked them for their » view » or ordered them to do so, on the eve of the offensive. Let’s hope that some oligarchs charitable enough to think of their wallet before their « fatherland » will come to finance their efforts and that Putin will end up executed by his lackeys, like the Ceaucescus.
He must fall, if we want to remain free. A Sino-Soviet pact, de facto or de jure, will otherwise impose the reign of tyranny and the mystique of imperialism everywhere.
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