BERNARD MINORET n’est plus…
Il est difficile d’évoquer, dans un espace aussi étroit que ce blog, une personnalité aussi forte et singulière, avec qui l’on a vécu, écrit, et dont on s’est inspiré pour composer un livre où il paraissait sous son nom, et avec tous ses attributs, Brèves saisons au paradis ( Grasset, 2012). Mieux vaut laisser trois autres écrivains, qui aimèrent et admirèrent Bernard MINORET, lui rendre hommage Cécile GUILBERT, dans les pages du Monde du 19/07/2013, Benoit DUTEURTRE dans celles du Figaro du 10/07, enfin Marc LAMBRON, qui rédigea ce discours à l’occasion de la remise d’une décoration qui ne put avoir lieu avant sa mort…
(B. Minoret par Willy Maywald)
Ceux qui l’ont connus, croisés, ou regrettent de n’avoir pu le faire pourront se reporter à l’hommage rendu par l’auteur de ce blog, aux côtés de Jacques FIESCHI et de Fabrice LUCHINI, en l’église St Roch de Paris, le 12 juillet 2013…
A découvrir aussi, l’article publié pour l’occasion par CONNAISSANCE DES ARTS…
On relira aussi avec profit le texte décisif que Bernard MINORET inspira, à travers les pastiches qu’il écrivit avec Philippe JULLIAN, Les Morot-Chandonneur, à Marc LAMBRON, in Carnet de bal (3), ed. Grasset, 2011.
Pour trouver La Fuite en Chine, la pièce qu’il écrivit avec Danièle VEZOLLES et que Roland BARTHES préfaça…
A l’été 2014, un important fonds comportant 25 cartons de manuscrits, correspondances, photos, documents divers, a été dépose à l’IMEC par son ayant-droit. Il est en cours de traitement.
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