Brèves saisons au paradis : abroad/ à l’étranger
*ABROAD/A L’ETRANGER
*Foreign rights : Heidi Warneke, Grasset editor.
Ph: 0033 144392212
*DANS LA PRESSE, LES WEBRADIO, LES BLOGS
*Dans La libre Belgique datée du 3 septembre 2012, Jacques FRANCK écrit: « Reconstituant ces années qui se terminent à ses trente-sept ans, ARNAUD distingue quatre saisons « passées au paradis » : rue de Verneuil avec JACQUES, rue de l’Université avec BERNARD, Saint-Tropez avec ANNE et l’année qu’il a passée à la Villa Médicis en « single ». On relèvera en passant qu’il n’hésite pas à clamer sa reconnaissance pour ce que amants ou amis lui ont apporté au cours de ses années de formation. A l’égard de lui-même, il n’est pas avare d’une autodérision enjôleuse qui allège ce que ses révélations peuvent avoir d’indiscret, et le décantement de ses états d’âme de térébrant (…) Et maintenant ? Comment l’auteur a-t-il endossé la vie d’un homme de 40 ans ? On vit, on ne survit que par métamorphoses. Gageons que nous n’en avons pas fini avec la Confession de cet Enfant (de la fin) du (vingtième) Siècle, dont le témoignage s’apparente à une opération à cœur ouvert. » Pour lire cet article dans son intégralité…
*« Récit autobiographique d’un homme au commencement de sa vie d’adulte, qui se cherche, qui doute, qui sait qu’il est en train de vivre le meilleur et que cela est éphémère. Son acuité sensorielle et intellectuelle est donc à son comble. Si l’autobiographie est par essence un peu nombriliste, il n’en demeure pas moins un style parfois flamboyant, et la description fidèle d’une époque trop légère et insouciante, qui explose quand le sida arrive tel un ouragan, emportant tout le monde sur son passage, et des personnages atypiques, dont les portraits sont très attachants« , lit-on sur le blog de La Lucarne.
*« Il y a deux ans, écrit Jacques de DECKER sur le site de DEMANDEZ LE PROGRAMME, la webradio belge, « Qu’as-tu fait de tes frères ? », tragédie de la fratrie d’une terrible franchise, avait cette force rare de plonger à la fois dans une expérience douloureusement personnelle sans y mettre aucune complaisance, tout en envoyant au lecteur un terrible défi de lucidité et de sévérité sur soi. C’est ce qui fait l’écriture du moi d’Arnaud une écriture du nous. Dans son nouveau livre, « Brèves saisons au paradis », il y va aussi de souvenirs des plus intimes, et en particulier de la bisexualité vécue comme une expérience intérieure de recherche de soi, mais une fois encore avec une générosité de confidence qui est de l’ordre du pacte avec le lecteur. LEIRIS faisait précéder son « Age d’homme » d’une préface célèbre où il comparait la littérature à une tauromachie. Le torero, en son habit de lumière, et ici il s’agit d’une lumière faite sur soi, s’offre en quelque sorte en sacrifice. Et si de la sorte il se purifie lui-même, il nous libère de la chape des mensonges qui nous oppressent. » Pour entendre Jacques de DECKER analyser le livre, en date du 6 novembre 2012, dans ce qui s’avère la critique la plus incisive et la plus généreuse qu’on lui ait consacré…
*Pour trouver ce livre en Belgique…
* »Le livre se termine avec le sida. Les temps changent. Les proches de Claude sont touchés. Très bien mené, mais trop mondain pour avoir une valeur de témoignage générationnel, le livre retrouve enfin là un centre de gravité », tempère le critique suisse Etienne DUMONT. Pour lire l’article qu’il a consacré au livre dans la Tribune de Genève…
*Pour trouver ce livre en Suisse…
* »The most important trend of 2012 was, as it had been for years, the evergrowing wave of « autofiction » in which the autors convert their own lives into novels. In Brèves Saisons au paradis, Claude ARNAUD novelized his youth in 1980s Paris, when he moved in with an older gay couple to become a member of a joyfull « trouple » only to discover heterosexual love when Aids appeared and the ménage broke up ». Vincent AURORA, Britannica book of the year 2013, Encyclopaedia Britannica.
* »le courant le plus marquant, en 2012, fut, comme dans les années précédentes, la vague toujours croissante d' »AUTOFICTION » qui voient des auteurS CONVERTir leur propre vie en romanS. dans BRÈVES SAISONS AU PARADIS, CLAUDE ARNAUD « fictionnise » sa jeunesse dans le paris des années 1980S, quand il rejoint un COUPLE gay pour former un joyeux « TROUPLE« . avant de finir par découvrir l’amour HETEROSEXUEl avec l’apparition du sida et la rupture de leur MÉNAGE à trois« . VINCENT AURORA, BRITANNICA BOOK OF THE YEAR 2013, ENCYCLOPAEDIA BRITANNICA.
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